La défaite des troupes françaises de Mac-Mahon à Frœschwiller a entraîné la défaite de la France dans cette guerre. La perte de l’Alsace-Moselle et le lourd tribut qu’a dû payer la France ont été générateurs des deux conflits mondiaux du XXe siècle.

Dès la fin de la bataille du 6 août 1870, les prussiens ont promis de reconstruire l’église qui a brulé le soir de la bataille. La construction d’une seconde église qui n’était pas prévu au départ, consacrée à la réconciliation, est le symbole du lien d’amitié entre les peuples allemands et français.

Au-delà des faits militaires qui se sont déroulés à Frœschwiller le soir du 6 août 1870, la mémoire des 20 000 morts prussiens et français doit être utile pour construire la Paix d’aujourd’hui et de demain. Ce champ de bataille de confrontation doit laisser la place à la fraternité des peuples, qui se sont réunis autour d’un projet européen pour éviter de nouveaux conflits.

La municipalité est ainsi engagée dans la création d’un centre culturel européen de la paix, qui a vocation à prendre place au sein de l’église de la Paix. Ce centre doit permettre de rappeler cette histoire locale tragique, des conséquences engendrées pour amener à réfléchir sur la manière dont la Paix s’est construite après la seconde guerre mondiale et dont la flamme doit vivre au quotidien.

Le projet doit permettre d’ouvrir l’église de la Paix au public sur des plages horaires très larges alors qu’aujourd’hui, elle est fermée en permanence. La création d’éléments muséographiques sur les côtés, sous le porche d’entrée et dans l’église doit retracer l’histoire du lieu et mettre en avant les valeurs de paix européenne.

Pour l’heure, le studio CYNARA a été mandaté par la municipalité pour effectuer des propositions qui sont représentées sous les formes des images de synthèse ci-jointes.

CCEP

– Le projet du CCEP –

La défaite des troupes françaises de Mac-Mahon à Frœschwiller a entraîné la défaite de la France dans cette guerre. La perte de l’Alsace-Moselle et le lourd tribut qu’a dû payer la France ont été générateurs des deux conflits mondiaux du XXe siècle.

Dès la fin de la bataille du 6 août 1870, les prussiens ont promis de reconstruire l’église qui a brulé le soir de la bataille. La construction d’une seconde église qui n’était pas prévu au départ, consacrée à la réconciliation, est le symbole du lien d’amitié entre les peuples allemands et français.

Au-delà des faits militaires qui se sont déroulés à Frœschwiller le soir du 6 août 1870, la mémoire des 20 000 morts prussiens et français doit être utile pour construire la Paix d’aujourd’hui et de demain. Ce champ de bataille de confrontation doit laisser la place à la fraternité des peuples, qui se sont réunis autour d’un projet européen pour éviter de nouveaux conflits.

La municipalité est ainsi engagée dans la création d’un centre culturel européen de la paix, qui a vocation à prendre place au sein de l’église de la Paix. Ce centre doit permettre de rappeler cette histoire locale tragique, des conséquences engendrées pour amener à réfléchir sur la manière dont la Paix s’est construite après la seconde guerre mondiale et dont la flamme doit vivre au quotidien.

Le projet doit permettre d’ouvrir l’église de la Paix au public sur des plages horaires très larges alors qu’aujourd’hui, elle est fermée en permanence. La création d’éléments muséographiques sur les côtés, sous le porche d’entrée et dans l’église doit retracer l’histoire du lieu et mettre en avant les valeurs de paix européenne.

Pour l’heure, le studio CYNARA a été mandaté par la municipalité pour effectuer des propositions qui sont représentées sous les formes des images de synthèse ci-jointes.